Depuis la dernière AG 2017, le GTI ne s’est pas rencontré physiquement, faute de participants disponibles sur les thématiques actuelles du GT.
Toutefois, des actions ont été menées qui intéressent l’ AITF et peuvent mobiliser à terme de nouveaux membres au sein de ce GT, notamment les échanges avec nos collègues étrangers lors de visites techniques de leur part en France, ce qui a fait l’objet de relations préparatoires :
- Avec des collègues d’Australie australe (IPWEA-Institute of Public Works Engineering Australasia) qui avaient prévu un voyage d’études techniques sur les meilleures pratiques en Travaux publics, prévu aux USA, en France et aux Pays-Bas du 25 aout au 14 septembre, mais malheureusement annulé à la dernière minute
- avec les collègues ingénieurs de l’association homologue de l’ AITF, Statwerk ( Pays -Bas) , vers les régions du sud à l’automne prochain)
- Avec les collègues de Chine, avec la délégation du China Institute of Building Standards Design & Research, pour une rencontre envisagée cet été avec des membres AITF de Provence,
- La venue de 3 collègues et présidents italiens de l’association ANTEL -INASA, à la fois association professionnelle et Syndicat des Ingénieurs publics du Nord de l’Italie aux RNIT 2018 de Montpellier, dans le but de partager à la fois les ateliers et les réflexions de fond sur la dynamique de nos associations respectives ;
Activités pédagogiques et stratégiques internationales :
- Par ailleurs Maurice Barth a représenté l’AITF au sein de CGLU-Afrique ( Cités et gouvernements locaux unis – organisme mondial, dont sa branche Afrique pour les cadres et élus territoriaux) du 26 au 29 mars à Rabat dans le cadre de la préparation du Master Exécutif en Management des Villes de l’Académie Africaine des Collectivités Territoriales. Ce séminaire a porté sur le contenu et modalités de déploiement du Master Exécutif de ALGA. Maurice Barth y a apporté un éclairage et un témoignage sur la façon dont l’AITF appuie les Managers territoriaux. Il a aussi, à la demande la présidente d’ ALGA, animé la définition et la coordination des modules techniques prévus à destination des directeurs techniques d’Afrique et ainsi ouvert ces modules à l’appel de candidatures d’ingénieurs françaises.
- Une demande officielle de partenariat a été initié entre l’ AITF et le Syndicat national des directeurs généraux des collectivités territoriales (SNDGCT) , en préparation notamment suite à ce séminaire CGLU.
Participation AITF / FIME-IFME
- Maurice Barth va représenter l’AITF et participera au prochain CA et Congrès de la FIME- IFME (Fédération Internationale des ingénieries municipales-territoriales) dont l’AITF est membre, prévu à Kansas City du 25 au 29 aout prochain.
- RNIT 2019 : C’est dans ce cadre que les membres du CA de la FIME ont décidé, en accord avec l’ AITF, de tenir leur future rencontre internationale 2019 en France, en participant aux prochaines RNIT 2019 prévues à Dunkerque. Ainsi près de 20 à 25 ingénieurs responsables d’associations homologues de près de 15 pays des 5 continents viendront échanger leurs pratiques avec l’ AITF et prendre avec vif intérêt, la mesure des innovations territoriales françaises.
Aides diverses :
- Tout ne passe pas par le GTI, les collègues des divers GT-thématiques participent en ce qui les concernent à ds colloques international ( cf Voirie hivernale en Pologne, etc…) . il est important de les garder à l’esprit et de favoriser ces échanges thématiques ou transfrontaliers.
- Un appui à la traduction de certains documents a pu être ainsi apporté
En résumé, l’AITF poursuit utilement le renforcement de ses partenariats utiles et permet à ceux qui souhaitent s’investir d’ouvrir des portes à des échanges fructueux à l’international.
L’ouverture à des contributions d’ingénieurs de l ‘AITF reste souvent peu transparente dans le cadre de formations données à l’international. Leur participation est dans la majorité des cas le fruit d’engagements directs hors AITF ( ex. via le CNFPT ou d’autres organismes de formation, de petites ou grandes ONG, ou encore d’organismes tels OIE, Business-France, etc.… ) .
Cet appel à contribution directe, indépendant des projets de coopération décentralisée de leur collectivité d’origine, pourrait devenir un nouvel axe coordonné par l’AITF si celle-ci disposait d’une base de données à jour des candidatures disponibles selon leurs thématiques professionnelles (un essai a été initié en ce sens). L’autre critère discriminant concerne la possibilité de mobiliser ces expertises indépendamment des projets de coopérations de leurs collectivités de rattachement (disponibilité personnelle, ex. projet sur financement AFD notamment) . Mais cela nécessite de pouvoir compter sur un engagement réaliste et sûr, et souvent pérenne dans le temps, pour ne pas engager l’AITF sur des projets peu fiables. Pour l’instant , ce n’est pas souvent le cas au vu des contraintes professionnelles lourdes de nos collègues intéressés.
Mais la porte est ouverte au gré des projets en cours.